Les patients atteints du cancer sont souvent mal diagnostiqués, selon une enquête
Un quart des patients atteints du cancer font face à un premier diagnostic erroné.
Pour 8 % d’entre eux, cela arrive même plusieurs fois et 13 % doivent attendre six mois avant de bénéficier d’un bon diagnostic, ressort-il d’une enquête de la plate-forme internationale All.Can relayée dans la presse flamande samedi. Celle-ci, soutenue par des entreprises pharma, des hôpitaux, des mutualités et des experts, est active depuis mars en Belgique.
Selon All.Can, la Belgique bénéficie de très bons traitements du cancer, mais les diagnostics et informations aux patients font encore défaut.
Quarante pour cent déclarent ainsi avoir été trop peu informés sur les symptômes d’une éventuelle rechute. La plupart estime aussi avoir manqué de soutien quant aux effets secondaires des traitements.